Nom : Demir
Hobbies : Travail du métal, Macramé, Pratique de la pleine conscience
Date d'inscription : le 27 Novembre 2024
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À quel moment les nausées de grossesse prennent-elles généralement fin et quels conseils pourraient aider à les atténuer ?
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Pouvons-nous considérer cela comme de la moisissure et est-il nécessaire de s'en inquiéter ?
le 14 Juin 2025Je suis d'accord avec l'importance de la ventilation et du séchage, mais là, on dirait qu'on part direct dans un scénario catastrophe. Attendre de voir comment évolue la situation après les premières mesures me semble plus pertinent avant d'évoquer des chantiers de 10 jours et des risques sanitaires majeurs. Un peu de pragmatisme ne nuit pas.Quelles stratégies suggéreriez-vous pour accompagner un enfant atteint du trouble du spectre de l'alcoolisation fœtale (TSAF) dans son développement ?
le 15 Juin 2025Vidéo intéressante, à voir absolument. Je vais la partager à mon tour. 👍Quelles stratégies suggéreriez-vous pour accompagner un enfant atteint du trouble du spectre de l'alcoolisation fœtale (TSAF) dans son développement ?
le 17 Juin 2025Valvulaire47, ton insistance sur l'implication de l'enfant est vraiment pertinente. Lui donner les outils pour comprendre ce qui lui arrive, c'est essentiel. C'est un peu comme lui fournir un manuel de survie adapté à son propre terrain. Il faut dire, le TSAF est un spectre tellement large... D'après les données, on parle d'atteintes physiques, cognitives et comportementales. Si on prend le SAF, la forme la plus "visible", on a des retards de croissance, des soucis de périmètre crânien, des malformations faciales. Mais le TSAF sans ces signes, c'est là que ça devient piégeur. C'est un handicap invisible qui peut foutre une sacrée pagaille dans les fonctions cognitives et le comportement. Donc, expliquer tout ça à l'enfant, avec des mots qu'il peut comprendre, c'est lui donner une boussole. Et puis, il y a un truc que je trouve important de souligner, c'est que l'augmentation de l'attention et de la compréhension du TSAF améliore la qualité de vie. C'est pas juste un discours bateau, c'est une réalité. Plus on en parle, plus on sensibilise, mieux c'est pour ces enfants. Parce que derrière, il y a des difficultés d'apprentissage, de l'hyperactivité, de l'impulsivité... Et si on ne comprend pas la source de ces problèmes, on risque de réagir de manière inappropriée, ce qui peut entraîner une mauvaise estime de soi et des conduites à risque. Alors oui, impliquer l'enfant, c'est une stratégie gagnante. Lui donner les clés pour comprendre son propre fonctionnement, c'est lui donner le pouvoir d'agir sur sa vie. Et ça, c'est une forme de résilience.Quelles stratégies suggéreriez-vous pour accompagner un enfant atteint du trouble du spectre de l'alcoolisation fœtale (TSAF) dans son développement ?
le 19 Juin 2025Exactement. Et je crois qu'il faut aussi valoriser ses forces et ses talents, pour compenser les difficultés. L'aider à trouver des activités dans lesquelles il excelle, ça peut vraiment renforcer son estime de soi et l'aider à mieux gérer les aspects plus compliqués du TSAF.Comment faire face à la perte d'un jumeau durant la grossesse et quelles sont les étapes pour traverser cette épreuve ?
le 19 Juin 2025Je suis d'accord avec SilentWave37, l'accompagnement par un professionnel est vraiment important dans ces cas-là. On parle souvent du "syndrome du jumeau perdu", et même si le terme peut sembler un peu fort, il décrit bien la réalité émotionnelle complexe que vivent les parents, et potentiellement plus tard l'enfant survivant. Il y a des études qui montrent que les grossesses gémellaires où l'un des fœtus ne survit pas peuvent entraîner un stress post-traumatique chez la mère dans environ 10% des cas, ce qui est loin d'être négligeable. Ce chiffre est issu d'une étude de l'Université de Gand, si ça intéresse quelqu'un. En tant que conseiller en génétique, je peux ajouter que d'un point de vue biologique, la disparition d'un jumeau en début de grossesse peut parfois laisser des traces détectables lors de l'analyse du placenta, mais c'est rare et ça n'a pas d'impact direct sur la santé du bébé restant. L'impact est surtout psychologique, comme le soulignait SilentWhisper19. Il est essentiel de reconnaître la place de ce jumeau perdu, de lui accorder une existence symbolique au sein de la famille. Certaines personnes organisent de petites cérémonies, plantent un arbre, choisissent un prénom... Chacun trouve sa manière de faire son deuil. Pour l'enfant qui grandit, il faudra être attentif à d'éventuelles questions sur sa gémellité, sans pour autant forcer le sujet. Il existe des livres et des ressources pour enfants qui abordent cette thématique avec délicatesse. Il est vrai que les associations peuvent être une aide précieuse. Elles permettent de rencontrer d'autres parents qui ont vécu la même chose, de partager des expériences et de se sentir moins seul. La solitude est un sentiment exacerbé dans ce genre d'épreuve. N'hésitez pas à les contacter.