En tant que coordinatrice de soins, je peux vous dire que l'approche multidisciplinaire est souvent la clé. 🤔 Ergothérapie pour l'autonomie, orthophonie si besoin, et surtout un suivi psychologique adapté à ses besoins spécifiques. L'art-thérapie peut aussi être un excellent moyen d'expression. 😊
N'hésitez pas à vous rapprocher des associations de parents, ils ont des conseils très précieux basés sur leur vécu. Courage à vous et à ce jeune patient. 🍀
Hello,
Quand tu dis "au quotidien", tu penses surtout à l'école, à la maison, ou les deux ? 🤔 Et est-ce qu'il y a des défis particuliers qui ressortent plus que d'autres dans son comportement ? Ça aiderait à cerner les pistes à explorer. 👍
Bonne question SilentWhisper19 👍. Quand je dis "au quotidien", je pense autant à l'école qu'à la maison, oui. Disons que ce qui me frappe, c'est surtout sa difficulté à se concentrer et à suivre les consignes, ce qui impacte son apprentissage et crée pas mal de frustration, tant pour lui que pour son entourage... Des idées pour ça ? 🤔
Pour la concentration et le suivi des consignes, c'est un challenge classique avec le TSAF. 🤔 Je pense qu'il faut adapter l'environnement et les méthodes d'enseignement. Des pauses régulières, des consignes claires et imagées, et beaucoup de renforcement positif. 👍
J'ai trouvé cette vidéo d'une émission sur le sujet, ça vulgarise pas mal et ça peut donner des pistes :
C'est "Les Causeries de la santé" animé par Cédric Pédre et Bérénice Doray, ils parlent justement des vulnérabilités et du développement de l'enfant avec TSAF. Ça peut être utile. 😉
C'est bien que cette vidéo ait plu.
En rebondissant sur l'idée de la concentration et des difficultés à suivre les consignes, et en me basant sur les infos complémentaires que tu as partagées Dubois, je pense qu'il y a un point super important à souligner : le TSAF, surtout sans malformations physiques apparentes, c'est vraiment un "handicap invisible". Ce que ça veut dire, c'est que les difficultés de l'enfant ne sont pas toujours comprises ou prises au sérieux, ce qui peut mener à des réactions inappropriées de la part de l'entourage, comme tu le dis. Et ça, ça peut avoir des conséquences terribles sur son estime de soi et son comportement à long terme.
Si on prend en compte que le SAF (donc la forme la plus "visible" du TSAF) inclut souvent un retard staturo-pondéral et un petit périmètre crânien, on peut imaginer la pression que ressent l'enfant qui n'a pas ces caractéristiques physiques mais qui lutte quand même avec des difficultés cognitives. Il doit se sentir incompris et illégitime dans sa souffrance. D'où l'importance, comme le souligne le document, d'un diagnostic précoce pour adapter l'accompagnement et éviter ces troubles secondaires. Et ce "diagnostic médical approfondi" est essentiel, car sans lui, on risque de passer à côté de la vraie nature des difficultés de l'enfant et de les attribuer à autre chose (manque de motivation, paresse, etc.).
En fait, si je comprends bien, même si l'enfant ne présente pas les malformations faciales typiques, les séquelles neuro-cognitives peuvent être bien présentes et impacter sa vie quotidienne. Et ces difficultés d'apprentissage, l'hyperactivité ou l'impulsivité, c'est pas juste des "caprices", c'est la conséquence directe de l'exposition à l'alcool pendant la grossesse. Donc, plus on est conscient de ça, mieux on peut adapter notre approche et soutenir l'enfant. D'ailleurs, même si c'est pas toujours facile, il est important d'adopter une attitude bienveillante et compréhensive, tout en fixant des limites claires et en utilisant des stratégies d'intervention adaptées.
Tellement d'accord avec ce que tu dis SilentWhisper19 ! C'est un handicap invisible et c'est bien le mot. J'ajouterais qu'il ne faut surtout pas hésiter à impliquer l'enfant dans la compréhension de son propre trouble. Lui expliquer, avec des mots simples et adaptés à son âge, ce qu'est le TSAF, quelles sont ses difficultés spécifiques et comment il peut les gérer.
Cela peut l'aider à mieux se connaître, à développer des stratégies d'adaptation et à renforcer son estime de soi. Et puis, qui mieux que lui pour exprimer ce qu'il ressent et ce dont il a besoin ?
Valvulaire47, ton insistance sur l'implication de l'enfant est vraiment pertinente. Lui donner les outils pour comprendre ce qui lui arrive, c'est essentiel. C'est un peu comme lui fournir un manuel de survie adapté à son propre terrain.
Il faut dire, le TSAF est un spectre tellement large... D'après les données, on parle d'atteintes physiques, cognitives et comportementales. Si on prend le SAF, la forme la plus "visible", on a des retards de croissance, des soucis de périmètre crânien, des malformations faciales. Mais le TSAF sans ces signes, c'est là que ça devient piégeur. C'est un handicap invisible qui peut foutre une sacrée pagaille dans les fonctions cognitives et le comportement. Donc, expliquer tout ça à l'enfant, avec des mots qu'il peut comprendre, c'est lui donner une boussole.
Et puis, il y a un truc que je trouve important de souligner, c'est que l'augmentation de l'attention et de la compréhension du TSAF améliore la qualité de vie. C'est pas juste un discours bateau, c'est une réalité. Plus on en parle, plus on sensibilise, mieux c'est pour ces enfants. Parce que derrière, il y a des difficultés d'apprentissage, de l'hyperactivité, de l'impulsivité... Et si on ne comprend pas la source de ces problèmes, on risque de réagir de manière inappropriée, ce qui peut entraîner une mauvaise estime de soi et des conduites à risque.
Alors oui, impliquer l'enfant, c'est une stratégie gagnante. Lui donner les clés pour comprendre son propre fonctionnement, c'est lui donner le pouvoir d'agir sur sa vie. Et ça, c'est une forme de résilience.
Je suis d'accord que l'implication de l'enfant est importante, mais je pense qu'il faut faire attention à la manière dont on lui explique les choses. 🧐 Tout le monde n'a pas la même capacité à comprendre et à gérer ce genre d'informations. Il faut trouver le juste milieu pour ne pas l'angoisser davantage... 😌
C'est clair que le dosage est délicat. Il faut adapter le discours à l'âge et à la maturité de l'enfant, comme tu dis. Mais je pense que même les plus jeunes peuvent comprendre certaines choses simples, avec des mots clairs et des exemples concrets. L'important, c'est d'éviter le jargon médical et de se concentrer sur ce qu'il ressent lui, concrètement.
Exactement. Et je crois qu'il faut aussi valoriser ses forces et ses talents, pour compenser les difficultés. L'aider à trouver des activités dans lesquelles il excelle, ça peut vraiment renforcer son estime de soi et l'aider à mieux gérer les aspects plus compliqués du TSAF.
le 13 Juin 2025
En tant que coordinatrice de soins, je peux vous dire que l'approche multidisciplinaire est souvent la clé. 🤔 Ergothérapie pour l'autonomie, orthophonie si besoin, et surtout un suivi psychologique adapté à ses besoins spécifiques. L'art-thérapie peut aussi être un excellent moyen d'expression. 😊 N'hésitez pas à vous rapprocher des associations de parents, ils ont des conseils très précieux basés sur leur vécu. Courage à vous et à ce jeune patient. 🍀
le 13 Juin 2025
Hello, Quand tu dis "au quotidien", tu penses surtout à l'école, à la maison, ou les deux ? 🤔 Et est-ce qu'il y a des défis particuliers qui ressortent plus que d'autres dans son comportement ? Ça aiderait à cerner les pistes à explorer. 👍
le 14 Juin 2025
Bonne question SilentWhisper19 👍. Quand je dis "au quotidien", je pense autant à l'école qu'à la maison, oui. Disons que ce qui me frappe, c'est surtout sa difficulté à se concentrer et à suivre les consignes, ce qui impacte son apprentissage et crée pas mal de frustration, tant pour lui que pour son entourage... Des idées pour ça ? 🤔
le 14 Juin 2025
Pour la concentration et le suivi des consignes, c'est un challenge classique avec le TSAF. 🤔 Je pense qu'il faut adapter l'environnement et les méthodes d'enseignement. Des pauses régulières, des consignes claires et imagées, et beaucoup de renforcement positif. 👍 J'ai trouvé cette vidéo d'une émission sur le sujet, ça vulgarise pas mal et ça peut donner des pistes :
C'est "Les Causeries de la santé" animé par Cédric Pédre et Bérénice Doray, ils parlent justement des vulnérabilités et du développement de l'enfant avec TSAF. Ça peut être utile. 😉
le 14 Juin 2025
Merci LameVirtuose6 pour le partage de cette ressource, je vais regarder ça attentivement.
le 15 Juin 2025
Vidéo intéressante, à voir absolument. Je vais la partager à mon tour. 👍
le 16 Juin 2025
C'est bien que cette vidéo ait plu. En rebondissant sur l'idée de la concentration et des difficultés à suivre les consignes, et en me basant sur les infos complémentaires que tu as partagées Dubois, je pense qu'il y a un point super important à souligner : le TSAF, surtout sans malformations physiques apparentes, c'est vraiment un "handicap invisible". Ce que ça veut dire, c'est que les difficultés de l'enfant ne sont pas toujours comprises ou prises au sérieux, ce qui peut mener à des réactions inappropriées de la part de l'entourage, comme tu le dis. Et ça, ça peut avoir des conséquences terribles sur son estime de soi et son comportement à long terme. Si on prend en compte que le SAF (donc la forme la plus "visible" du TSAF) inclut souvent un retard staturo-pondéral et un petit périmètre crânien, on peut imaginer la pression que ressent l'enfant qui n'a pas ces caractéristiques physiques mais qui lutte quand même avec des difficultés cognitives. Il doit se sentir incompris et illégitime dans sa souffrance. D'où l'importance, comme le souligne le document, d'un diagnostic précoce pour adapter l'accompagnement et éviter ces troubles secondaires. Et ce "diagnostic médical approfondi" est essentiel, car sans lui, on risque de passer à côté de la vraie nature des difficultés de l'enfant et de les attribuer à autre chose (manque de motivation, paresse, etc.). En fait, si je comprends bien, même si l'enfant ne présente pas les malformations faciales typiques, les séquelles neuro-cognitives peuvent être bien présentes et impacter sa vie quotidienne. Et ces difficultés d'apprentissage, l'hyperactivité ou l'impulsivité, c'est pas juste des "caprices", c'est la conséquence directe de l'exposition à l'alcool pendant la grossesse. Donc, plus on est conscient de ça, mieux on peut adapter notre approche et soutenir l'enfant. D'ailleurs, même si c'est pas toujours facile, il est important d'adopter une attitude bienveillante et compréhensive, tout en fixant des limites claires et en utilisant des stratégies d'intervention adaptées.
le 17 Juin 2025
Tellement d'accord avec ce que tu dis SilentWhisper19 ! C'est un handicap invisible et c'est bien le mot. J'ajouterais qu'il ne faut surtout pas hésiter à impliquer l'enfant dans la compréhension de son propre trouble. Lui expliquer, avec des mots simples et adaptés à son âge, ce qu'est le TSAF, quelles sont ses difficultés spécifiques et comment il peut les gérer. Cela peut l'aider à mieux se connaître, à développer des stratégies d'adaptation et à renforcer son estime de soi. Et puis, qui mieux que lui pour exprimer ce qu'il ressent et ce dont il a besoin ?
le 17 Juin 2025
Valvulaire47, ton insistance sur l'implication de l'enfant est vraiment pertinente. Lui donner les outils pour comprendre ce qui lui arrive, c'est essentiel. C'est un peu comme lui fournir un manuel de survie adapté à son propre terrain. Il faut dire, le TSAF est un spectre tellement large... D'après les données, on parle d'atteintes physiques, cognitives et comportementales. Si on prend le SAF, la forme la plus "visible", on a des retards de croissance, des soucis de périmètre crânien, des malformations faciales. Mais le TSAF sans ces signes, c'est là que ça devient piégeur. C'est un handicap invisible qui peut foutre une sacrée pagaille dans les fonctions cognitives et le comportement. Donc, expliquer tout ça à l'enfant, avec des mots qu'il peut comprendre, c'est lui donner une boussole. Et puis, il y a un truc que je trouve important de souligner, c'est que l'augmentation de l'attention et de la compréhension du TSAF améliore la qualité de vie. C'est pas juste un discours bateau, c'est une réalité. Plus on en parle, plus on sensibilise, mieux c'est pour ces enfants. Parce que derrière, il y a des difficultés d'apprentissage, de l'hyperactivité, de l'impulsivité... Et si on ne comprend pas la source de ces problèmes, on risque de réagir de manière inappropriée, ce qui peut entraîner une mauvaise estime de soi et des conduites à risque. Alors oui, impliquer l'enfant, c'est une stratégie gagnante. Lui donner les clés pour comprendre son propre fonctionnement, c'est lui donner le pouvoir d'agir sur sa vie. Et ça, c'est une forme de résilience.
le 18 Juin 2025
Je suis d'accord que l'implication de l'enfant est importante, mais je pense qu'il faut faire attention à la manière dont on lui explique les choses. 🧐 Tout le monde n'a pas la même capacité à comprendre et à gérer ce genre d'informations. Il faut trouver le juste milieu pour ne pas l'angoisser davantage... 😌
le 19 Juin 2025
C'est clair que le dosage est délicat. Il faut adapter le discours à l'âge et à la maturité de l'enfant, comme tu dis. Mais je pense que même les plus jeunes peuvent comprendre certaines choses simples, avec des mots clairs et des exemples concrets. L'important, c'est d'éviter le jargon médical et de se concentrer sur ce qu'il ressent lui, concrètement.
le 19 Juin 2025
Exactement. Et je crois qu'il faut aussi valoriser ses forces et ses talents, pour compenser les difficultés. L'aider à trouver des activités dans lesquelles il excelle, ça peut vraiment renforcer son estime de soi et l'aider à mieux gérer les aspects plus compliqués du TSAF.